Angelique Muller

De nationalité française, Angélique est née à Clermont Ferrand.

Elle a étudié la communication et les études cinématographiques à l’Université de Malte. Son court métrage de fin d’études «Ward Sixty6» a remporté le Grand Prix du Festival du film de Tanger en 2006 et lui a valu une bourse pour un master en écriture de scenario à l’Université Napier d’Edimbourg en Ecosse.

Elle a ensuite obtenu un diplôme d’assistante-réalisateur du CEFPF à Paris et travaille depuis sur des plateaux de cinéma entre Paris et Malte.

En 2015, elle a rejoint la Fondation Film Grain, fière d’organisateurs du Festival du film de La Valette. Elle développe actuellement 2 courts métrages et un long métrage avec la maison de production française Bizibi.

• Le Pain des Français (Feature film in development) Bizibi – Paris, 2018
• Amateurs (Documentary in development) Triade – Paris, 2018
• It’s my Life (court métrage in pre-production) Sajjeta – Malte, 2018
• Johnny Johnny (short film in pre-production) Bizibi – Paris, 2018
• Toxicity (short film – 11min – Film Grain Foundation – Malte), 2018
• Hallelujah (Short documentary – 9’ – Story doc), 2014
• Ward Sixty6 (Short film – 13’ – University of Malta), 2006

Chantal Richard

Après des études de philosophie et de lettres, puis de cinéma à l’I.D.H.E.C., Chantal Richard se consacre à la réalisation de ses films. Qu’ils soient de fiction ou documentaires, ceux-ci l’ont souvent conduit en Afrique. Elle anime également des ateliers de cinéma, entre autres à la FEMIS, l’ENS de Lyon, le CREADOC d’Angoulême, l’Université de France Télévisions, la MRSH de l’Université de Caen, l’Association Porteurs d’images à l’île Maurice, les Ateliers Varan…

Filmographie Selective

• L’APPARTEMENT
  2018, long métrage documentaire, en cours d’écriture
• LE MONDE DE PASCAL
  2016, long-métrage en cours d’écriture
• CE DONT MON CŒUR A BESOIN
  2016, 77’, Arsenal Productions
• MES PARENTS N’AVAIENT PAS D’APPAREIL PHOTO
  2013, 51’, Arsenal Productions, Normandie TV
• AU NOM DES 3 COULEURS
  2009, 90’, Agat films & Cie, RFO
• LILI ET LE BAOBAB
  2006, 93’, Agat Films & Cie, sortie en salles le 3 mai 2006
• UN JOUR, JE REPARTIRAI…
  2002, 55’, Agat Films & Cie, Arte
• LUIS ET MARGOT
  1998, 47’, Pickpocket Productions
• CHARLES PÉGUY AU LAVOMATIC
  1997, 15’, Pickpocket Productions
• LA VIE EN CHANTIER
  1996, 66’, Bonne Pioche, La Cinquième

Jacques Kermabon

Jacques Kermabon est rédacteur en chef de Bref, édité par l’Agence du court métrage, correspondant de la revue québécoise 24 Images, programmateur aux Archives audiovisuelles de Monaco, chargé de cours à l’université Paris 1.

Il a publié :

• Les vacances de Monsieur Hulot, collection long métrage, Yellow Now, 1988 (réédition actualisée en 2009)

Et, sous sa direction :

• CinémAction n°47, Les théories du cinéma aujourd’hui, Cerf-Corlet, 1988;
• Cinema and Television, Fifty Years of Reflection in France (avec Kumar Shahani), Orient Longman, New Delhi, 1991;
• Pathé premier empire du cinéma, Centre Georges-Pompidou, 1994;
• Parcours du cinéma en Ile-de-France, Textuel, 1995 ;
• Une encyclopédie du court métrage français (avec Jacky Evrard), Yellow Now, Côté court, 2003 ;
• Du praxinoscope au cellulo, Un demi siècle de cinéma d’animation en France, Archives françaises du film du CNC, 2007.

Julie Jouve

D’origine réunionnaise, elle écrit depuis l’enfance (poèmes, nouvelles, récits). Elle enseigne le français durant 15 ans en France puis à la Réunion. En 2014, elle se forme au scénario avec une école canadienne.

Elle décide alors de se consacrer à l’écriture. Son premier scénario ‘Kwassa Kwassa’ obtient la Mention spéciale du Jury du Prix Océans 2015, une sélection en finale au Festival du Moyen-Métrage de Brive, ainsi qu’au Festival Européen de Lille.

Son deuxième scénario, ‘Tangente’, est lauréat du Prix Océans 2016, ce qui lui permet de le réaliser et d’avoir ainsi sa première expérience sur un plateau de tournage. En mai 2017, ‘Tangente’ est projeté en avant-première à la Quinzaine des Réalisateurs, à Cannes. Julie poursuit actuellement l’écriture de son long-métrage.

Reema Sengupta

Reema Sengupta est une jeune scénariste-réalisatrice-monteuse basée à Mumbai. Elle a réalisé des films narratifs, des vidéoclips, des publicités, des installations vidéo interactives et des after-movies à travers l’Inde, le Royaume-Uni, la Corée du Sud et les États-Unis.

Elle a reçu la prestigieuse Bourse de l’Asian Film Academy (2012), où elle a représenté l’Inde au Festival international du film de Busan. L’International Green Screen Lab 2012 a sélectionné le premier scénario de long métrage de Reema.

Le premier court-métrage de Reema – "The Tigers, They’re all Dead" a remporté quatorze prix, dont le prix d’excellence IDPA 2013. Elle est diplômée de l’Université de Westminster, Londres en 2012 avec la mention très bien et avec le plus haut pourcentage de toute la Media Art and Design School.

En 2014, Reema a cofondé CATNIP, une maison de production spécialisée. En tant que scénariste-réalisateur de CATNIP, elle a créé plus de 200 vidéos pour des leaders du divertissement international en Inde, des marques notables telles que Red Bull & Amazon et des artistes internationaux tels que Skrillex et Steve Aoki, entre autres.

Reema s’intéresse à l’esthétique mixte des médias et à l’utilisation du cinéma comme instrument de changement social tangible. Elle écrit actuellement son premier long métrage.

• The Tigers, They’re All Dead (15 min., Satirical Comedy Short Film, Mumbai, 2012)
• Tyu’s Company (15 min., Dystopian Science Fiction Short Film, London, 2012)
• Counterfeit Kunkoo (15 min., Narrative Drama Short Film, Mumbai, 2017)

Risheeta Agrawal

Diplômée en économie de l’une des plus prestigieuses universités d’Inde, la carrière de Risheeta Agrawal a pris un tournant radical quand elle a décidé de se tournée vers l’industrie des médias.

Après presque cinq ans en tant que directrice créative de l’agence « EO2 Events » en Inde, elle déménage à Prague pour étudier le cinéma et où elle a réalisé son premier court métrage « Naughty Amelia Jane ».

Elle dirige actuellement une agence de production publicitaire en Inde qui, seulement 6 mois après sa création, s’adresse déjà à des clients tels que L’Oréal, Condé Nast, Skechers et bien d’autres.

Stéphanie Grand

Après des études en philosophie et en gestion financière, Stéphanie Grand rejoint ‘Sauve Qui Peut Le Court Métrage’ en tant que salariée en 2006 après plusieurs années de bénévolat sur le festival.

Elle est déléguée générale à temps complet depuis 2011 en charge de la gestion administrative et financière, ce qui la permet d’allier sa formation avec l’une de ses passions : le cinéma.

Elle a toujours pratiqué une activité artistique que ce soit la musique ou la danse, et rejoindre l’équipe de ‘Sauve Qui Peut Le Court Métrage’ l’a permis de défendre l’accès à la culture pour tous dès le plus jeune âge.

Elle a fait partie du comité de sélection de la compétition nationale pendant un an et depuis l’année dernière du comité de sélection jeune public. Elle participe également à la présentation des séances coups de cœur du festival.

Vincent Toi

Né à l’île Maurice, Vincent Toi a déménagé au Canada à l’âge de 20 ans pour étudier le design à Toronto et le cinéma à Montréal. Il est actuellement directeur artistique à deux grandes institutions d’art au Canada, le Centre Phi et la Fondation DHC / ART pour l’art contemporain, tous deux situés à Montréal.

En 2014, Vincent Toi se rend à Jacmel, en Haïti, où il enseigne la mise en scène et l’écriture de scénario au Ciné Institute. Il tombe amoureux du peuple haïtien et décide de faire un film. The Crying Conch, qui a été présenté pour la première fois à la 67e Berlinale Shorts Competition et qui a également été salué au Festival International du Film de Toronto, a fait le tour du monde et a été présenté dans plus de 30 festivals.

En 2014 également, il termine son premier long métrage documentaire, I’ve Seen The Unicorn, qui faisait partie de la sélection officielle du Festival International du Film Hotdocs et du Festival International du Film de Chicago.

Il travaille actuellement sur son nouveau projet qui sera tourné sur l’île Maurice en mai 2019.

Wood Jerry Gabriel

Wood-Jerry Gabriel est un jeune artiste Haïtien, née en 1988 dans la ville de Jacmel, la capitale culturelle d’Haïti. Fils du peintre Martineau Gabriel, il se passionne très jeune pour la peinture et intègre en 2010, le Foyer d’Orientation et de Soutien aux Artistes Jacméliens, le FOSAJ.

Wood-Jerry est passionné d’écriture et s’applique donc à la création de poèmes et de courts récits de fictions. Cette double passion pour l’art plastique, mais aussi pour l’écriture, le pousse à étudier le journalisme. L’année suivante, il décide de poursuivre son éducation au Ciné Institute de Jacmel, la seule école de cinéma professionnelle d’Haïti.

Il se démarque rapidement au sein de l’institution en réalisant plusieurs projets, dont des vidéoclips, des publicités et des courts métrages, dont La Veuve, qui compte parmi les meilleures productions de sa promotion. Récemment gradué avec une mention d’excellence, Wood-Jerry travaille actuellement sur plusieurs projets de publications, mais aussi sur ses futurs projets de films.